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L’errance du vol

Contact us for screenings/installation of L’errance du vol

Créé en partenariat avec la Biosphère

Générique

Avec Anna Lippold, Jonathan Verreault, Stéphanie Mercure, Francis St. Pierre and the gulls of Île Deslauriers

Productrice et réalisatrice  Elizabeth (Liz) Miller
Cinématographe et monteur  Vincent Donze
Conseiller de projet MJ Thompson
Cinématographie additionnelle Deborah Vanslet, Elizabeth Miller
Conseillers en écriture Anna Houston, Deborah Vanslet, Elizabeth Miller
Conception sonore Angus Tarnawsky
Technologue créatif K.P. Morgan
Soutien à la production Émilie Trudeau
Conception du titre Matt Soar
Titre et traduction Isabelle Boucher
Recherche de données Anna Lippold

Remerciements supplémentaires David Clark, Teresa Connors, John Neufeld, Michele Luchs, Joshua Chalifour, Megan Fitzgibbons

Avec le soutien de Social Sciences & Humanities Research Council Connection Grants and Concordia University

Textes

  • Nagy, Kelsi and Johnson II, Phillip David. (2013). Trash Animals: How We Live with Nature’s Filthy, Feral, Invasive, and Unwanted Species. University of Minnesota Press. 
  • Mayntz, Melissa. (2020). Migration: Exploring the Remarkable Journeys of Birds. Hardie Grant Publishing. 

Balado

L’errance du vol  est un film éducatif et une installation immersive qui explore les relations entre les goélands à bec cerclé, les résidents de Montréal, les toxicologues urbains et les experts en matière de déchets. Il met l’emphase sur les tensions qui découlent de la présence de ces animaux sauvages qui ont adapté leur trajectoire de vol pour se nourrir des déchets humains. 

Chaque année, au mois de mai, 70 000 goélands à bec cerclé se reproduisent sur l'île Deslauriers, située à quelques kilomètres à l'est de Montréal. Cet événement spectaculaire permet aux toxicologues d'observer ces oiseaux pour détecter les contaminants auxquels ils sont exposés lorsqu'ils se nourrissent des ordures du dépotoir. Et pourtant, que faire lorsque ces oiseaux migrateurs protégés, qui suscitent l'inquiétude des biologistes, sont en même temps une nuisance pour les habitants des villes voisines ou pour les employés des installations sanitaires ? Et que faire lorsque les déchets toxiques que les humains ont tenté d'enfouir se répandent à nouveau dans l’environnement, au gré des pérégrinations journalières de ces goélands voraces ? 

L’errance du vol delivers a glimpse of the ring-billed gull from multiple, partial and conflicting human perspectives, and asks the questions: What can the gulls teach us about adaptation? Toxic exposure? Spatial Navigation? How do gulls, often referred to as urban scavengers or waste animals, hold up a mirror to our own evolving relationships to waste? The project ask us to consider “Who really is the waste animal?”

“Despite efforts to disgorge ourselves of waste, millions of people live with, and on, consumption’s cast-offs. Additionally, an undocumented number of ‘trash animals’—gulls, ravens, pigeons, raccoons, rats, mice, dogs, polar bears and so on—eat, defecate, play games with, have sex on, and otherwise live out their lives in our dumpsites.”
(Alexander Zahara et Myra J. Hird, 2015. P. 169-70)

“Despite efforts to disgorge ourselves of waste, millions of people live with, and on, consumption’s cast-offs. Additionally, an undocumented number of ‘trash animals’—gulls, ravens, pigeons, raccoons, rats, mice, dogs, polar bears and so on—eat, defecate, play games with, have sex on, and otherwise live out their lives in our dumpsites.”
(Alexander Zahara and Myra J. Hird, 2015. P. 169-70)

WasteScapes a été créé par des étudiants et des professeurs de l'Université Concordia à Tioh:tiáke/Montréal, avec le soutien de Concordia et un bourse de “Connection,” de Conseil de recherche en sciences humaines, Canada.